Le déni climatique, version 2.0
M. Gérard Montpetit constate que le déni climatique prend désormais une forme plus subtile. Nos gouvernants mettent en oeuvre des actions qui sont diamétralement opposées à leurs belles paroles.
M. Gérard Montpetit constate que le déni climatique prend désormais une forme plus subtile. Nos gouvernants mettent en oeuvre des actions qui sont diamétralement opposées à leurs belles paroles.
M. Gérard Montpetit démontre que l’industrie automobile est réfractaire à l’idée de vendre des véhicules écoénergétiques; sa publicité est axée sur la vente de gros véhicules. L’avenir lui prouvera qu’elle a tort.
Cette lettre adressée à M. Justin Trudeau dénonce les agissements douteux de l’ONE et son manque total de crédibilité et de cohérence en ce qui concerne la réduction des GES et les engagements sur le réchauffement climatique pris par le Canada.
Comme le Conseil québécois du droit en environnement (CQDE), M. Gérard Montpetit conteste l’idée qu’ Énergie Est ne serait pas co-responsable de la production des gaz à effet de serre que généreront les 1 100 000 barils par jour qui transiteront dans cet oléoduc.
M. Montpetit souligne qu’au delà des considérations économiques et environnementales, le projet du pipeline Énergie Est sursoit à l’inévitable transition énergétique, il est le soubresaut final d’une technologie dépassée.
M. Montpetit s’indigne qu’une pétrolière, grande productrice de GES reçoive une subvention dans le cadre une action supposément «verte». En période d’austérité et de coupures, il compare l’octroi de cette subvention à la pétrolière Suncor, à du BS donné à des «Bougon» de luxe.